La vieille cité....
Je marche, vive, alerte,
je cours sur l'herbe verte.
Je parcours les ruelles
qui me semblent si belles...
Je ne voit personne,
Et ma voix résonne
dans l'imensité.
La vieille cité
vibre à l'hunisson,
des notes de ma chanson.
Il y a dans les pierres,
comme un sort
qui fait frémir encore,
les feuilles du lierre
qui grimpe sur les ruines,
sous une légère bruine...
Le temps n'a pas éteint,
les voix de ceux que le destin,
A fait périr ici, sous les débris
qui me mettent à l'abri.
J'écoute la pluie,
Et la cité qui bruit...
Tout ici n'est pas que silence,
L'air est plein encore de leur absence...
Marianne
FlashFox – Flash Browser
Il y a 6 ans
5 commentaires:
Je profite d'être la première à te laisser un commentaire , pas comme d'habitude. C'est beau, et ton style change ! Il est plus... compréhensible.
(De nouveaux commentaires sur ton blogus)
Merci, ma nymphe, pour tes critiques éclairées...
J'ai étrangement pensé à la vallée de Dana en l'écrivant...
Donc, c'est un peu gràce à toi si ce poème est là!
J'avais voulu que ce soit clair et fluide...
Bisous
Marianne
Je ne sais pas quoi dire... à part que c'est sublime, comme toujours. Et que j'aime vraiment ta façon d'écrire, tu as tellement de talent !
Ze t'aime fort Marianne !
Bizzz, Fanny
Alors ? a quand le texte "le retour de l'enterrement" ou le "retour du départ" ?
Ton amie.
c'est jouli!
j'aime bien comment c'est construit.
continue!
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